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Titre du blog : Le remplissage des hôpitaux
Auteur : echomonde
Date de création : 07-07-2008
 
posté le 07-07-2008 à 11:53:10

LE REMPLISSAGE DES HÔPITAUX

  .
(France) 

Messieurs les bénéficiaires de la loi 1905, 

Cessez un peu de nous parler du régime Nazi et balayez devant votre porte ! 



Qu’elle soit cérébrale ou matérielle,
la misère est le fondement de la société de l’argent !
(Le malade, l’industrie première.)


TOUT LE MONDE IL EST BEAU !

TOUT LE MONDE IL EST MALADE.
Une population malade est une population soumise.  






LE REMPLISSAGE DES HOPITAUX 
La morale est sauve !  



Fonds sociaux »»» Démographie des malades »»» Gros chiffres d'affaires

C'est le nombre des malades qui produit le chiffre d’affaires de l'industrie du médicament.





HYPOCRISIE du SYSTEME

Un individu n'a-t-il de valeur que s'il est pauvre et malade ? 
(Plus il y a de malades, plus l'industrie du médicament fait de profit.)




Pourquoi faut-il fabriquer des malades ?
La logique serait de penser qu'il y a toujours "bien assez de malades comme cela !"
De dire qu'il n'y a pas lieu de se préoccuper d’un pareil problème. 

De plus, il est intéressant de savoir que le financement des Hôpitaux Publics est assuré par une Dotation Globale. (Somme forfaitaire qui est versée par la Sécurité Sociale.) 

A l’origine,  ce moyen de financement des hôpitaux avait été décidé pour décourager le remplissage abusif.  Finalement,  ce sera tout le contraire. 

La Dotation Globale (somme forfaitaire), dont le montant est fixé par les Préfets  (Les Arrêtés préfectoraux), ne prend jamais en compte le taux de remplissage des lits,  ni la condition d'assuré (ou pas) des malades (1).

L'argent entre donc dans les Hôpitaux Publics et,  en absolu,  un hôpital pourrait matériellement fonctionner sans aucun malade.  (Il existe d’ailleurs un exemple connu où pendant des années un service entier en psychiatrie a fonctionné sans aucun malade.) 

Oui !  Mais voilà !  L'argent entre dans les hôpitaux,  c'est vrai !  Mais, sans malade,  l'argent n'en ressort pas ! 

Pour que l'argent ressorte des Hôpitaux Publics, il faut des malades. 
(Les malades sont la composante incontournable entre l'énormité des budgets sociaux et l'immensité du profit médico-pharmaceutique.  Des centaines de milliers de lits sont à remplir.)


Rien n'est plus simple

Lorsque l'on dispose du pouvoir,  on contrôle l’industrie du médicament.  On a main mise sur le capital de la Dette publique.  On dispose donc des médias,  des syndicats,  des politiques,  des associatifs.
Rien n'est plus simple que de remplir les hôpitaux ! 


Il suffit de transformer les bien portants en malades.

Les habitudes sont prises. Les représentants du corps médical utilisent couramment l'expression imagée "pute et maquereau" pour qualifier le rapport "médecin-pharmacien".


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1)  La morale est sauve, les personnes hospitalisées qui ne disposent pas de la couverture Sécurité Sociale sont prises en charge par l'Aide Sociale. (Aujourd'hui, la CMU pour certains,  voire l’AME pour les autres.)
L'ombre au tableau, c'est que les hôpitaux additionnent volontiers l'Aide Sociale à la Dotation Globale obtenant ainsi des prix de journées pharaoniques face à la réalité des charges. (Merci, les plus démunis.) 


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Transformer les bien portants en malades 



L'heure d'été
Le principe de l'heure d'été n'est pas anodin. Chaque jour, on impose à des millions d'actifs de se lever une heure plus tôt. Alors que l'on sait très bien que, le soir, ces personnes continueront à se coucher aussi tard.

Une heure d'activité et de stress en plus pour une heure de sommeil en moins (la meilleur heure) voila une bonne et heureuse affaire qui, à la longue, ne peut que produire des bons et "généreux" malades.


Les malades sont source de PIB. Le PIB, c'est de la croissance. La croissance, c'est le pays qui s'enrichit. Le pays qui s'enrichit, c'est de l'argent pour ceux qui en ont besoin. Va sans dire,  de l'argent pour les riches.  Pour être pauvre, on n'a pas besoin d'argent. 


Les maladies dites : "iatrogènes".
En fait, ces maladies n'en sont pas. Ces maladies sont dues à des complications médicamenteuses. Un lit sur cinq d'hôpital serait occupé par cette catégorie de "malades".


Les vaccinations
Le vaccin contre l'hépatite B (encore une heureuse affaire !)  Les toxines contenues dans le vaccin sont plus dangereuses que la maladie elle-même.

L'heureuse affaire :
Si la maladie est guérissable, les conséquences du vaccin sont incurables.
Naturellement, les milliers d'infirmes à vie pour cause de vaccination imbécile sont des personnes qui avaient peu, ou aucune,  chance de contracter la maladie.






Une ligne de discours. 
Légaliser l'usage de la drogue et supprimer les prisons.



Légaliser l'usage de la drogue
(Discours porté par le Ministre de la Malsanté publique, lui même.)
Il n'est pas nécessaire d'expliquer que cette démarche aboutit à remplir les hôpitaux.


Supprimer les prisons
A première vue,  la chose peut sembler excessive.  Mais,  la facilité est de considérer les grands criminels pour des malades. 
Les professionnels de l'intoxication cérébrale,  professionnels qui opèrent dans le milieu associatif et politique,  utilisent les médias pour agiter l'idée qu'il faut déplacer les grands criminels de la prison vers les établissements spécialisés.  (Par établissements spécialisés, il faut entendre hôpitaux psychiatriques.)

La nuance :
- On entre dans un établissement spécialisé ;
- On sort d'un hôpital psychiatrique.


Ce que le discours ne dit pas :
- Les conditions de détention en univers psychiatrique sont pires qu'en prison ;
- De plus, pour un grand criminel,  le prix de journée en psychiatrie avoisine les 1200 euros par jour (Aide Sociale additionnée à la Dotation Globale) alors qu'en prison le coût journalier n'est estimé qu'à seulement 90 euros.  (Une bonne affaire !) 

A ce sujet,  on doit aussi observer que la morale de l’abolition de la « peine de mort »  repose sur une valeur humaine qui se traduit en chiffres monétaires. 






La version moderne (et à grande échelle) du :
« Malade imaginaire »
(Le complot des blouses blanches et des soutanes)



AZT, un poison absolu pour lutter contre un virus fantôme.
Aussi appelé par les spécialistes : "AZT, le Sida sur ordonnance".

Il n'est pas utile d'expliquer la chose à des gens qui gagnent à ne pas savoir
Néanmoins, il faut rappeler que l'AZT est reconnu pour être un poison absolu. 

A ce titre, cette toxine que certains disent avoir été fabriquée, à l'origine, pour tuer les doryphores, a été interdite de commercialisation à usage médicamenteuse dès le début de sa fabrication.
Le Cartel de la pharmacie a contourné cette interdiction en faisant distribuer cette coûteuse toxine par le canal des hôpitaux (2).

Ce que le discours officiel ne dit pas, c'est que toutes les personnes à qui les hôpitaux publics ont prescrit cette toxine médicamenteuse sont mortes de l'AZT (et non pas du "sida"). 





La morale est sauve ! 



Le dogme du virus sert les intérêts médico-religieux.
Le SIDA ne cible que des croyants. (Des cerveaux morts)
Quand on croit à des dieux imaginaires, on croit pareillement à des virus imaginaires. Les uns comme les autres, sont tout aussi dangereux.


Le test de dépistage du SIDA n'est pas spécifique. (Au détail près qu'il ne cible que des croyants.)
Ce test réagit à de multiples toxines. Voire même, à des produits anodins.


Ce test n'est pas un test.
Le test du sida n'est qu'un artifice qui aboutit à faire croire à des gens en bonne santé qu'ils sont mourants et qu'ils doivent se soigner. Sachant que les symptômes de la "maladie" n'apparaîtront qu'après le début des soins (si début de soin, il y a).


Le SIDA (outil du Pouvoir religieux) exploite la croyance.
Le Sida a permis de reprendre en main les habitudes sexuelles de la foule. Cela au profit de qui l'on devine.
Le virus, quant à lui, ne se transmet que par la "bave" des professionnels faisant profit du mensonge,  journalistes,  enseignants,  associatifs et curés. (3)


Merci, le virus imaginaire.  Une bonne affaire ( En moyenne, 1000 euros par jour et par "malade".) 



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2)  L'AZT est commercialisé sous le nom de Zédovudine. 
C'est un gentil nom,  "Zédovudine".  Pour un peu, on en donnerait à des enfants.  Il ne faut pas se laisser abuser. 
Ce gentil médicament possède autant d'effet thérapeutique que de la Mort-aux-rats. 


3)  L'intoxication cérébrale :  L’ignorance pour le mensonge. 
Il faut se méfier des entreprises asservies au cartel de l’industrie du médicament.  Ces entreprises,  fortement financées par l’argent public et social,  colportent l'ignorance,  le mensonge et l'esprit de démission. 

Une industrie sans précédent 
Avec l'argent public,  ces "entreprises" s'activent sous le masque "associations" de lutte contre le Sida.  (Un profit gigantesque !)  


 

 

Le virus machin 


Un virus est un mot de cinq lettres qui permet de tout faire comprendre à des gens qui n’ont pas besoin de savoir. 

L’objectif est d’inciter les femmes à abandonner l’usage de la contraception au profit du préservatif. 
Pour la France,  l’abandon de la contraception,  c’est 100 000 procréations non désirées chaque année 
(certainement beaucoup plus). 

Si un bon nombre de ces procréations se terminent par un avortement,  en revanche,  un grand nombre aboutit aussi à produire des bons et généreux cas sociaux.  Ces généreux cas sociaux qui régalent la Finance fasciste. 

La Finance fasciste  (La finance des Curés)  vit de la misère qu’elle produit. 
(La misère et les malades sont des éléments incontournables pour accéder à l’argent public et social,  mais aussi aux dons et donations privés.) 

Pour installer le virus machin imaginaire dans les têtes,  l’industrie du médicament  (asservie aux curés)  n’a pas hésité à empoisonner,  à travers le monde,  des millions de personnes avec de faux médicaments. 
Cela ne s’est ni passé il y a cinquante ans,  ni il y a cent ans,  ni même il y a dix siècles. 
Cela se passe aujourd’hui,  à la vue de chacun,  dans l’approbation générale. 
Ceci dit,  quand on croit aux dieux imaginaires,  on croit pareil au virus imaginaires. 

La Finance fasciste ne se trompe pas de cible.   





Pour conclure 


A raison de quelques 60 milliards d’euros annuel,  argent d'origine sociale qui a transité via les hôpitaux publics et l'industrie du médicament,  certains ont bâti un Capital,  le Capital de la Dette publique. Soit pour la France,  cinq fois le budget net de l'état. Merci les plus pauvres et les malades !  




Fonds sociaux »»» Démographie des malades »»» Gros chiffres d'affaires



C'est le nombre des malades qui produit le chiffre d’affaires de l'industrie du médicament.
C'est l'industrie du médicament qui alimente le capital de la Dette publique. 


L’ignorance pour le mensonge 
Le capital de la Dette publique,  aux mains des curés,  anime l’intoxication cérébrale.  Il finance l’ensemble des industriels du mensonge  (Médias,  associatifs,  syndicats,  politiques)  imposés par l’au-delà. 

Dans la foulée,  on constate que pour certains,  l’abolition de la peine de mort a généré un profit qui n’est pas anodin.  La valeur humaine ne se situait pas là où l’on nous a fait croire. 

Les « moralisateurs »,  qui par ailleurs dans le cadre d’un profit spéculatif,  sont capables d’exterminer des millions de personnes en racontant des histoires de virus imaginaires,  s’en mettent plein les poches. 

 

Commentaires

Lisa SION le 09-11-2008 à 14:00:06
Que de vérités dans tous ces textes édifiants, J'aime bien résumer ceci de cette façon :


" Si la médecine soignaient toutes les maladies, les hôpitaux seraient pleins de lits vides. et les médecins aussi...livides !


Bien à vous, Lisa SION.

Bernard Monnier le 07-07-2008 à 13:02:57
Sparadrap«Les vérités que l’on aime le moins apprendre sont celles que l’on gagne le plus à savoir.»

Bernard Monnier


La cuisine diabolique des croyances (Un bien-portant est un malade qui s’ignore.)

http://blog.ifrance.com/echofrance


Le virus machin (Un bien-portant est un malade qui s’ignore.)

http://levirusmachin.hautetfort.com/